Un laboratoire britannique a reconnu ne pas avoir de preuve que la substance utilisée contre un ex-espion russe en Angleterre provenait vraiment de la Russie. L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques va alors se réunir ce mercredi à la demande de Moscou. Le Kremlin réclame des excuses de la part de la Première ministre britannique Theresa May.